mercredi 16 novembre 2011

23 Novembre International Day to End Impunity Journée d'action internationale



Chaque jour, et jusqu’à la Journée internationale contre l’impunité le 23 novembre, le site dédié dévoile sur un calendrier l’histoire d’un journaliste, d’un écrivain, d’un artiste ou d’un défenseur de la libre expression tué dans l’exercice de ses fonctions ce jour-là, et dont le meurtre n’a pas été résolu. Johanne Sutton, Pierre Billaud et Volker Handloik font parti de ce calendrier. Pour soutenir cette action, il est demandé à chacun de signer une pétition qui sera envoyée à l'ambassadeur des Etats-Unis en Afghanistan afin qu'il ouvre une enquête. Si vous desirez signer cette pétition pour que l'on obtienne enfin une enquête. Il vous suffit de cliquer sur ce lien http://daytoendimpunity.org/fr/take_action# .
Vous trouverez un calendrier avec des portraits au jour du 11 Novembre figurent le pochoir de Jo Pierre et Volker. Cliquez dessus.
S'ouvre alors une fenêtre.
Cliquez sur la zone rouge en bas "Demander justice" . Saisissez vos noms prénoms et adresse email.
Cliquez sur "Envoyer".
Merci pour votre aide et votre contribution. Peut-être qu'avec cette action nous saurons avec plus de précisions ce qui est arrivé ce soir du 11 Novembre 2001 dans le Nord Est de l'Afghanistan.

1 commentaire:

mercier a dit…

Bonjour Elizabeth,
je découvre votre blog car la mort de Gilles Jacquier me fait penser à Johanne...et en surfant, je tombe sur vous.
Jo m'avait accueilli en stage à RFI en 2001. Au service reportages. Je ne l'oublierai jamais. C'est elle qui m'a confié un Nagra pour la première fois. Alors que je n'y connaissais presque rien. Surtout face à elle.
Elle a renforcé ma passion pour ce métier que j'exerce aujourd'hui, depuis 2002.. En tant que rédacteur en chef adjoint dans une télé locale...
C'était il y a plus de dix ans. J'aurai tant aimé lui confier mes doutes professionnels de début de carrière, mes choix, mes questions. Elle me faisait rire, elle avait du temps pour un stagiaire. Elle me fascinait vraiment.
je pense très fort à elle, à ceux qui restent et s'interrogent sur le sens de tout ça. Cette "grande soeur" a une famille nombreuse. elle a beaucoup semé.
Son sourire ne s'oublie pas.
Amicalement,
Matthieu